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Je n'ai plus le temps d'écrire mais, je dépose des articles, en donnant leurs sources bien sûr, pour garder le fil d'une actualité riche malheureusement...

 

Musiques d'accompagnement :



Citation:

Le message de Gandhi, de Mandela, de Martin Luther King (...) C'est un message d'espoir dans la capacité des sociétés modernes à dépasser les conflits par une compréhension mutuelle et une patience vigilante

Stéphane Hessel



 
24 juin 2008 2 24 /06 /juin /2008 09:02
En cette période de soldes, le gouvernement s'inspire de cette esprit et brade tout. Après l'éducation (vive les classes surchargées), les retraites (tous au boulot sauf PPDA), c'est au tour de la santé ave une réduction du pourcentage de remboursement des personnes atteintes de longues maladies (SIDA, Diabète, maladie cardio-vasculaire...).

C'est l'assurance maladie qui propose cette semaine son plan de rigueur de près de 2 milliards d'euros en 2009 comportant notamment une réforme de la prise en charge des maladies de longue durée, étant donné que le gouvernement a fixé à la branche maladie de la Sécu l'objectif ambitieux de revenir à l'équilibre en 2011.

Une lourde réduction des dépenses entre 2 et 3 milliards d'euros. La plus sensible touche notament aux conditions de prise en charge des patients en affections de longue durée (ALD), qui sont encore aujourd'hui remboursées à 100%. Certains d'entre eux ne seraient remboursés qu'à 35% au lieu de 100%.

Les autres mesures touchent l'hôpital, le médicament, les tarifs et les prescriptions. L'objectif est ramener le déficit de 4,1 milliards d'euros cette année à 2,8 milliards en 2009, et il semble que tous les moyens soient bons.



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commentaires

V
<br /> Le Timbré, n°61, extraits<br /> Le sieur de Montebourg est l'invité d'Europe 1 le 11 janvier : la vacuité faite homme. Et qu'il m'excuse, c'est Montebourg que l'on dit maintenant, il a lui même renoncé à sa particule. C'est dômmage, la particule, c'est ce qu'il y avait de plus authentique chez Montebourg. Bref, encore plus que ses copains, il tire à boulet rouge sur le président. Ils sont tellement à court de projet les socialos qu'ils n'ont d'autre choix pour ne pas couler que de se lancer perpétuellement dans la critique acerbe. Telle celle qui concerne le pouvoir d'achat dont ils répètent comme un leitmotiv que le président n'en tient pas la promesse : en dehors du fait que les promesses qu'on fait le plus volontiers en campagne électorale sont celles qu'on sait ne pas pouvoir tenir - si un candidat ne se hazardait qu'en des promesses tenables, il serait élu roi des gentils petits oiseaux de la jolie forêt, mais certainement pas président de la République - le seul soutien efficace du pouvoir d'achat, c'est la croissance, pour la relance de laquelle les socialistes sont aussi vides de solutions qu'ils sont véhéments pour la critique du gouvernement agissant, se faîsant un vibrant honneur de ne surtout pas manquer d'oublier les quelques 760 millions disponibles au bénéfice des 3,6 millions de personnes éligibles au Revenu de Solidarité Active. Telle celle également concernant le plan de relance de 26 milliards, dont les socialistes n'ont eu comme réaction que de se précipiter pour lui reprocher son insuffisance, minant par la même le moral des acteurs économiques de telle manière que cela réduit d'emblée et d'ores et déjà considérablement ses chances de produire les effets escomptés. On a le très net sentiment que plus les socialistes se rendent comptent qu'ils n'ont strictement rien d'autre à proposer aux français que leurs vieilles lunes interventionnistes qui sont la cause essentielle de la déconfiture de laquelle le gouvernement s'échine à tenter de nous sortir aujourd'hui, plus ils s'acharnent contre lui, en espérant sans doute que leur courroux sera assez perceptible pour dissimuler leur pitoyable vacuité. Le député remet ainsi en cause toutes les réformes qui ont pour but de freiner la dérive totalement incontrolée des dépenses publiques. Il remet sur le tapis pour la 88 521 ème fois le paquet fiscal. Il parle des 500 millions d'euros de chèques qui ont été faits aux riches, en se gardant bien évidemment de les mettre en parallèle avec les quelques 100 à 200 milliards d'euros de chèque signés par ces riches avant qu'on ne leur rembourse généreusement cette aumône afin que le franchissement de la barre des 50% d'impôts ne transforme point les prélèvements en racket organisé. Ne serait ce pas vous qui ayez inventé la mauvaise foi, Mr Arnaud ? Ah il y a une grande richesse d'arguments chez les éléphants, et plus ils sont imbus d'eux mème plus le vide de leurs propositions saute aux yeux. Quand on écoute le député de Soane et Loire, on frémit rien qu'à l'idée qu'on a immédiatement à l'esprit de ce qu'un programme socialiste de remise en question de toutes les réformes actuelles et donc de retour immédiat à l'immobilisme le plus radical qui terrasse notre pays depuis 50 ans aurait pour conséquence : si les socialistes reviennent au pouvoir en 2012, parviendront t-il avant 2017 à faire franchir à notre pays la barre symbolique des 3000 milliards d'euros de dette publique ? Quand on écoute le bel Arnaud, on peut même parier sans grand risque pour 3500 millards. Mais ça n'est pas grave n'est ce pas, au délà des 4000 milliards, je pense que ça n'est même plus la peine de compter. Ceux qui compteront, ce ne sont finalement que nos enfants et arrière petits enfants sur quelques décennies de générations. Après tout, si on peut leur plomber l'existence pour la nuit des temps, pourquoi s'en priver ? Aller, tous derrière le bel Arnaud, c'est pas parce qu'il veut priver nos enfants d'avenir qu'il faut lui gâcher le sien. " Oui, Arnaud, vive les déficits" lui répond en écho son ami le président du conseil général de l'Ardèche ce même dimanche chez A.S. Lapix sur Canal +. Il explique que le meilleur moyen de soutenir l'emploi, c'est de créer des postes de fonctionnaires. Oui, "vive les déficits", entonne à la cantonnade un directeur d'hôpital qui demande la création de 20 000 postes. Le trou de 800 millions à l'hôpital public ? Mais bagatelle voyons, allez amis socialistes, faisons l'effort pour un chiffre rond : plus que 200 millions et oui, ce sera le milliard, le milliard, LE MILLIARD à l'hôpital !!! La vacuité et l'explosion des déficits comme unique programme : au boulot, Martine, y'a du pain sur la planche.<br /> <br /> Victor C.<br />
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